Pensionnat Mc Collins
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 Alexander TAYLOR Version 2.00

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Alexander Taylor
Alexander Taylor
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Date d'inscription : 07/04/2008

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MessageSujet: Alexander TAYLOR Version 2.00   Alexander TAYLOR Version 2.00 Icon_minitimeLun 16 Juin - 20:48

Nom: Taylor-Daubte

Prénom: Alexander Yoan Lee

Age: 16 ans

Planète d'origine: Opale, MARS

Histoire:


.::CHAPITRE 1::.
.::A l'intérieur de l'obscurité::.





Mathilde-Alysander Hinglen-Darenski


]Parfois, souvent même, les choses ne se déroulent pas selon nos plans.
Dans ces cas-là, on regrette souvent nos actes, fait ou non-fait.
Les gens se séparent. Mes parents ne font pas exception à la règle.
La fission est inévitable. D'un côté, moi et ma mère, de l'autre,
ma sœur et mon père.
Une famille, séparée en deux clans radicalement opposés.
Le goût de ton sang sur la langue, ton odeur plein le nez.



Day Masen

Les deux silhouettes traversèrent la ruelle déserte,
pour finir plaqué contre une porte en bois.
- La mer Méditerranée est bleue.
Chuchota la silhouette encapuchonnée à côté de moi.
Il y eu un instant de silence, et la porte s'ouvrit rapidement.
La personne qui m'avait parler m'attrapa par la main,
et me tira en hâte à l'intérieur.
Le corridor, plongée dans la pénombre, m'était familier.
Nous étions chez Gautier, le cordonnier.
Mon panier dans une main, la main de Layer de l'autre,
nous suivîmes notre guide vers le seul meuble
de ce couloir : une grande armoire en bois grossièrement fabriquée.
Il ouvrit les deux battants, et nous nous engoufrâmes dans le meuble,
qui dissimuler un trou béant dans le mur.
Après avoir descendu une volé de marche en pierre usée,
nous pénétrâmes dans une sorte de caverne,
creuser à même dans la roche,
et meubler de façon rudimentaire : une table de bois, un tabouret,
un lit (défoncé) et des couvertures en tas dessus.
5 personnes étaient déjà dans la "pièce",
et se fût par 5 sourires que nous fûmes accueillit.




Sacha Gram-Stirchtag-Taylor

- Pourquoi je pourrais pas la voir, hein?
Répliquais-je sur un ton de défi à mon père.
Ce dernier soupira, et se baissa pour se mettre à mon niveau.
Il posa une mais sur mon épaule, et me regarda dans les yeux.
- C'est comme ça. Maman ne veux pas que des gens comme…
- Comme?
- Comme…Toi et moi s'approchent d'elle et du bébé.



Arica Mikarashi-Maodawa-Mc Dowell

- Ari, prends Yannick, et cachez-vous! Vite!
J'attrapais mon petit frère,
un nourrisson de quelques mois seulement,
scrutant mon père de mes petits yeux inquiets.
Ce dernier chargea son pistolet,
et nous jeta un regard douloureux.
- Veilles sur lui, Ari. Je t'aime.
Dit-il d'une voix qu'il voulait calme et sereine,
mais qui cachait mal son anxiété.
Il m'embrassa sur le front,
et s'esquiva par la grande porte de son bureau.
Je jetais un coup d'œil sur la baie vitré.
Les choses ne sont jamais, mais définitivement, jamais…



Carter Boham

"Les choses ne sont jamais, ce qu'on voudrait qu'elles soient.
Juliette, maintenant tu sais, ce que je savais déjà.
Et tu pleures, tu pleures, ma fille, ma sœur, je porte ta douleur…"



Day Masen

- Le ravitaillement!
S'écria joyeusement celui qui semblait être le plus âgé.
Ses autres comparses approuvèrent de
divers hochement de tête soulagé.
Notre guide se tourna vers le plus jeune de la bande,
un garçon roux d'une dizaine d'année.
L'homme lui fit le signe,
et se tourna vers ma compagne.
- Bien, on vous laisse. Merci encore les filles.
Ma compagne releva le capuchon de sa pèlerine,
et laissait apparaître un sourire entendu et décidé.
Le garçon roux passa devant nous en râlant,
et lui adressant un sourire en guise de salut.
Il n'avait pas besoin d'en faire plus.
Ses yeux parlaient pour lui.
Le père et son fils montèrent les escaliers,
avant que l'on entende le
bruit des battants qui se ferment.
Je relevais à mon tour ma capuche,
et scrutait de mes yeux timide et
absent les 4 hommes qui restaient.
Ma camarade m'entraîna vers la table,
où je déposais mon panier.
J'en sortit les maigres
rations que nous leur avions apporter.




Mathilde-Alysander Hinglen-Darenski

J'aurais fais n'importe quoi pour elle,
comme toute enfant bien obéissante qui prétendait aimé sa mère!
J'aurais tout fait pour qu'elle soit fière de moi,
ne serait-ce qu'une fois dans ma vie.
Je voulais lui montrer que, moi aussi j'étais douée,
que moi aussi j'étais forte.
Que moi aussi j'étais digne de ce rang.
J'aurais fais n'importe quoi.
N'importe quoi.
Même ça.



Day Masen

- De la viande!
S'exclama un des hommes, le blond.
- De la viande!
- Calme-toi, Tony, tu en auras,

répondit d'un ton amusé le plus âgé.
- Vous êtes super les filles!
Ajouta Tomas en fouillant dans le
panier qu'il venait de m'arracher des mains.
- Calmez-vous!
Répliqua Layer en le reprenant,
- Il y en a pour tout le monde! J'ai déjà préparé les rations.
Après que les 4 costaux ai eu leur ration,
ce qui ne fit pas sans peine,
car tout le monde essayait de
piqué la part du voisin,
je remballais les affaires, et,
guidé par Layer, nous nous retrouvâmes
de nouveau dans le vestibule de Gautier.
Ce dernier n'était pas là,
mais nous ne nous en préoccupâmes pas.
Il devait être dans l'unique pièce
de cette chaumière, avec son fils.
Nous sortîmes dans la rue,
non sans avoir préalablement remit nos capuchons,
et nous nous dirigeâmes à travers
les ruelles sombres de la ville,
pour arriver devant une maison,
sortit tout droit du Moyen-Age.
Cela n'avait d'ailleurs rien d'étrange.
Tous les bâtiments lui étaient semblables.
Ma compagne me poussa
brutalement et soudainement dans une ruelle en parallèle.
- La Milice,
Me souffla-t-elle,
en jetant un coup d'œil horrifier vers la porte de la maison.
- On est repéré.



Sacha Gram-Stirchtag-Taylor

- Des gens comme "Toi et moi"? Qu'est-ce que ça signifie?!
Nous sommes normaux!
Mon père eu un rire amère, tandis que je comprenais la raison de ce refus.
- Crois-tu vraiment que des gens qui se transforment en
loups de 5 mètres de longs sont normaux, Ash?
Nous devons accepter de voir Maman et Ti-Ohn partir.
C'est leur droit.
L'existence de monstres à forcement des conséquences
monstrueuses, Ash.



Arica Mikarashi-Maodawa-Mc Dowell

Me précipitant dans l'escalier, je tournais à l'angle d'un des couloirs.
Je courais aussi vite que le pouvais mon endurance et mes jambes,
tentant en vain de protéger le petit être que je serrais dans mes bras.
Je devais le protéger.
Mon père l'avait dit.
Je devais tout faire pour protéger ce petit garçon.
Je devais trouver la force de le faire.
Quelque soit les conséquences.
J'atteignis enfin ce que je cherchais : le grand placard à balaie du 3ème étage.
Je m'y précipitais, refermant la porte sur nous deux.
Ne pas nous trouvez.
La police ne devait pas nous trouvez.



Day Masen

Repéré…J'en frissonnais d'horreur.
Layer jeta un dernier regard à la porte, et hésita un instant.
- On ne peut pas retourner chez Chiaki, c'est c'qu'ils attendent.
On a pas le choix.

- On fait… Fait quoi?
Demandais-je de ma voix fluette.
- On va passer par la cave pour remonter.
On récupère le matériel, et on se tire. Tu crois que tu peux y arriver?

Je hochais la tête timidement.
Layer m'entraîna vers l'arrière du
bâtiment par une rue adjacente,
et nous nous dirigeâmes droit vers la fenêtre
qui donnait dans une des caves.


Mathilde-Alysander Hinglen-Darenski

"Mathilde…Tu sais que Maman t'aime, non?
Tu veux me faire plaisir, tu ne veux pas que je sois triste?"


"Mathilde, tu sais que ta sœur est plus avantagée que toi cette histoire…
L la choisira sûrement. Mais il y a un moyen d'y remédier. Mathilde…
Si tu devenais un garçon, L te choisirait, j'en suis sure.
Ma chérie, fais-le pour moi.
Tu sais à quel point c'est important pour moi. Accepte."


"Merci. Je suis fière de toi…Mon fils."



Day Masen

Layer défonça la vitre, et sauta dans le trou noir.
- Viens!
Souffla-t-elle. Je fis un énorme effort, et fermant les yeux,
je sautais dans les ténèbres…pour atterrir sur un tas.
Je constatais avec horreur que nous étions dans la cave
du médecin qui habitait avec ça famille de 7 personne
dans la pièce de 10 mètres carré en-dessous de la notre.
Nous avions atterrit sur un tas de corps en décomposition
plus ou moins avancer.
J'eus un haut-le-cœur, tandis que ma sœur m'entraînait
déjà vers la porte, un simple battant de bois,
qu'elle n'eut aucun mal à défoncer.
Nous nous retrouvâmes dans un couloir étroit,
exigu, et je dus fermer les yeux pour éviter
de céder à la claustrophobie.
Je trébuchais dans les marches de l'escalier,
et ma sœur me pressa tant dans le couloir que je dus rouvrir les yeux,
tandis qu'un sentiment de panique m'envahissais.
Je reconnus la porte qui était synonyme de "Chez nous".
Ma sœur poussa le battant, qui avait été défoncer,
en nous pénétrâmes dans une pièce que je ne pouvais supporter.
Trop petite. Nos 5 mètres carré avaient été retournés,
et tout notre nécessaire avait été rassemblé dans le milieu de la pièce.
Ma sœur se précipita vers les 2 mallettes contenant notre équipement,
et les ouvrit.
- Tout est là, Day
constata-t-elle.
- Il ne manque rien. Prends ta mallette,
on fiche le camp avant qu'ils trouvent.

Elle attrapa sa mallette, et me lança la mienne.
Elle se pencha légèrement par la fenêtre pour vérifier
que tout était okay dans l'arrière-cour,
et nous nous précipitâmes dans l'escalier.
Après avoir escalader le tas d'anciens patients du docteur Croweller,
nous réussîmes à sortir à l'air libre.
Je me sentis soudain beaucoup mieux.
Ma sœur me prit par la main et m'entraîna
dans la direction opposé à l'immeuble, en courant.
Nous débouchâmes dans une ruelle plus grande.
Tout devint flou. Trop rapide pour que j'assimile.
Tout se passa tellement vite…



Sacha Gram-Stirchtag-Taylor

- Je ne suis pas un monstre! Je ne suis pas un monstre!
Tu n'as pas le droit de dire ça! Je suis normal! Je ne suis pas un monstre!
- Tu ne pourras pas toujours te voiler la face, Ash. Nous sommes des monstres,
et nous devons l'accepter. Laisse Ti-Ohn s'éloigner.
Si tu aimes ta sœur et ta mère, tu dois tout faire pour les protéger.
Laisse les partir. S'il te plais. Fais le pour moi.
Pour Ti-Ohn.
- Je…Pour Ti-Ohn.
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Alexander Taylor
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MessageSujet: Re: Alexander TAYLOR Version 2.00   Alexander TAYLOR Version 2.00 Icon_minitimeLun 16 Juin - 20:49

Carter Boham

Chantonnais-je en regardant le mur où,
issue d'une époque où nous étions encore trois,
ma mère avait peint une fenêtre.
Malheureusement, ma mère était partit.
Cela ne me manquais pas, cependant.
Mes parents n'avais jamais vraiment marqué d'affection à mon égard.
J'avais appris à me débrouiller.
Je secouais ma tignasse mauve coupée court,
en bataille sur mon crâne, et écoutais le reste de la chanson.
Il était 21:37.
Mon père ne rentrait que rarement avant 23 heures,
j'avais donc du temps à revendre.
Il ne se préoccupait de choses tel que de savoir si j'étais au lit tôt,
si mes dents étaient brossés,
ou encore si j'allais au collège par exemple.
Mon père en ce que certains appellent "situation précaire".
Je trouve que c'est beaucoup de chichis pour dire "Au chomage", et "Alcoolique".
Si il était dans cette situation,
c'était sa faute, pas besoin qu'en plus on le plaigne.
Si il voulait se bouger, il serait sortit de cette "situation" depuis longtemps,
bon sang!
La tête contre le mur, je regardais la fenêtre,
de la musique plein les oreilles, du rêve plein les yeux.
Mon destin, ma vie, tendait vers elle, je le savais.

Day Masen.



Day Masen

Je trébuchais, m'étalant par terre.
Ma mallette vola sur le pavé, pour finir ouverte,
dévoilant son contenu, aux pieds d'un homme de la Milice,
qui s'était aventurer seul dans cette allée.
Il me regarda, d'abord surprit, et comprit la situation.
Il allait alerter les autres.
Je me relevais tandis que ma sœur lui bondissait dessus,
en lui administrant un coup de pied dans la machoire,
l'envoyant sur le carreau,
et récupérant ma mallette, qu'elle m'envoya.
- On file! Vite!
Cria-t-elle avant de s'étaler à son tour sur le pavé,
grimaçante de douleur.
Le type, par terre,
avait toujours assez d'esprit pour réussir à sortir son laser et lui tirer dans la cheville.
Réagissant au quart en voyant que l'on attaquait le centre de mon univers,
j'attrapais le laser dans ma mallette.
Je m'approchais de lui.

Sans une hésitation, sans un remord.




Je le frappais au nez avec la crosse.

Une fois.

Deux fois.

Trois foi.

Avec toute la force, la violence et la hargne dont j'étais capable.

Jusqu'à ce que le bruit si significatif se fasse entendre.
Un bruit d'os brisé.
Son nez, enfoncé dans sa boite crânienne, avait perforé le cerveau.
Couverte de sang, réalisant soudain mon geste, je me pétrifiais sur place.
Je contemplais le cadavre, au bord de la crise d'hystérie.
Ma sœur s'agrippa à ma jambe, me ramenant dans la réalité.
L'attrapant maladroitement pour la relever,
ramassant ma mallette dans laquelle je reposais le laser dégoulinant de sang,
je l'entraînait tant bien que mal dans une autre ruelle en parallèle,
tandis le danger s'imposait à ma conscience.

Nous étions faites comme des rats.



Carter Boham

"Je t'attends" murmura Juliette,
Alors que je me laisser sombrer dans l'inconscience.
Et tandis que je sombrais,

je m'imaginais le balcon, et la figure de Juliette.



Arica Mikarashi-Maodawa-Mc Dowell

Ne pas nous trouver!
La police ne devait pas nous trouver!
Mon estomac se tordit à cette perspective.
Il allait nous trouver.
Comment une gamine de 10 ans pouvait-elle ce cacher dans cette immeuble?
Je serais Yannick encore plus fort contre moi,
gémissante à la seule idée que c'était peut-être la dernière
fois que je le voyais, que j'avais vu mon père…
Les larmes coulèrent sur mes joues, et je laissais les ténèbres nous envelopper.



Day Masen

Je regardais autours de moi, lançant des regards perdus.
Nous étions dans une ruelle sombre, sans vie.
Inutile de réfléchir dix ans.
J'entraîna ma jumelle vers la porte la plus proche,
qui à ma grande surprise n'était même pas fermer,
et une fois nous deux à l'intérieur,
je la claquais en poussant le verrou.
Layer gémit.
- Non, pas ici…
Gémit-elle d'un ton horrifié.
Je frissonnais d'horreur en découvrant une faible
lueur en provenance du palier du haut.
Mais un coup d'œil à une Layer livide,
blanche, mal en point, me décida.
- Il y a du…Du monde là-haut…. Je vais voir…
Peut-être trouverons-nous…Nous de l'aide,

soufflais-je.
Layer n'eut aucune réaction.
Elle se contenta de poser son regard vide
sur une Day toute tremblante, et tripota ses oreilles.
Elle me lança quelque chose, que je ne réussi pas à attraper,
et qui s'étala dans la poussière.
- S'ils demandent de l'argent, donne-les leur.
gémit-elle.
Je ramassais l'objet, et je sentis les larmes me monter
aux yeux en reconnaissant les boucles d'oreilles
en pierres transparentes et rose.
Elle avait appartenus à maman, et le fait que Layer
s'en débarrasse prouvait que nous étions au bord du gouffre.
Je détachais mon bracelet.
- Si jamais…Je ne revenais pas, il…il te sera…
sera utile, pour…ce sera…ton passeport pour…pour la liberté.

Je m'interdis de la regarder.
Détournant la tête, et grimpant les escaliers en quatrième
vitesse, je lutais pour retenir mes larmes.
La porte.
La lumière filtrant en dessous.
J'inspirais profondément, frappais à la porte, et l'ouvris.



Alexander Taylor

- Bouha!
M'esclamais-je en me décrochant la machoire dans la salle d'attente,
Avant de jeter un coup d'œil à ma sœur, qui balançait ses jambes dans le vide.
- Ces divorces durent un temps fou!
Constarais-je en jetant un coup d'œil à ma montre,
- Tu tiens le coup, May? Pas trop fatiguée?
La gamine, d'un blond presque blanc,
tourna vers moi ses yeux bleu et ternes,
avant d'hocher la tête.
Négatif.
- Tant mieux! Parce que, connaissant papa et maman,
ils en ont pour trois heures!
C'est vraiment nul de leur part de nous traîner ici,
un dimanche matin en plus!
On devrait contacter S.O.S Enfant maltraité et
porter plainte conte eux!
J'ai autre chose à faire que de passer devant des avocats,
A prendre partit dans leur stupides querelles!
Non, mais franchement, tu te rends compte?!
Je pourrais être en train de faire dix milliard
de truc vachement plus intéressant en ce moment,
et non, il faut que je sois là!
Je pourrais regarder la télé, ou encore lire des bandes dessinées!
Je serais même capable de jouer à cache-cache avec toi!
Mais tu sais, moi et les avocats, ça fait deux!
Ils te prennent tout ton fric,
Pour des services minable!
Ah, et puis nos parents sont de vrai gamins, dites donc!
Même pas capable de régler leur problèmes entre eux,
On se croirait en maternelle!
Et ces sièges sont tout bonnement inconfortable!
On a pas idée de servir ça aux clients?
Qu'est devenus le soucis de confort du client?
Non, mais je te jure,
May, les gens aujourd'hui, plus aucun respect de son prochain!
C'est un comble! Quand je te disais que …



Day Masen

Dans une pièce d'une taille inimaginable,
meubler avec des objets et meubles que
je n'avais jamais vue, se tenait deux personnes
qui me regardèrent avec surprise.
Une femme, d'une vingtaine d'années,
aux cheveux brun, ainsi qu'un homme,
brun lui aussi, mais plus âgé.
Peut-être 35-40 ans.
- Peut-on savoir ce que vous faites ici, Mademoiselle?
Me demanda l'homme, une fois l'instant de surprise passé.
J'étais muette de stupeur,
mais la seule pensée de ma sœur en
bas me fit comme une décharge.
- Je…Je suis désolée d'être entré chez vous mais…
Mais ma sœur est en bas, elle est blessée, elle a besoin d'aide et…

- C'est quoi cette mallette?
Me coupa l'homme.
- Je…Heu, rien… Mais s'il vous plais…
- Ouvre ta mallette.
M'ordonna-t-il.
Interdite, tremblante de peur,
je m'exécutais, ne sachant que penser.
J'étais incapable de lui dire non.
La femme se leva, son visage incroyable,
souriant même sans sourire,
coller à quelques centimètres du contenu.
- Des résistants.
Ajouta-t-elle, certainement à l'adresse de l'homme,
dans une langue que je ne connaissais pas.
Elle m'enleva la mallette des mains,
et m'entraîna vers l'homme.
Je ne comprenais pas ce qui se passait.
Le type m'attrapa le visage,
et regarda ma figure sous toutes les coutures.
Il tourna ma face vers sa compagne,
et continua à baragouiner dans une langue impossible.
- Regarde-moi un peu la couleur de sa peau…
- Elle n'est pas blonde, mais bon…
- Elle sera parfaite.
La jeune femme tourna vers moi son visage
d'ange et m'adressa un éblouissant sourire.
- Tu es?
Me demanda-t-elle, les yeux brillants.
- Day Masen…Layer est en bas, elle est blessée et…
Répondis-je sans même comprendre pourquoi
je lui disais cela avec autant de faciliter.
- Day
Me coupa-t-elle,
- Désolée, mais nous avons besoin de toi.
Ca va un brûler au début, mais tu t'habitueras vite.

- Hein? De quoi parlez-vous? Lâchez-moi…
Gémis-je en me débattant inutilement.
La femme me tenait trop bien cepandant.
Je fus soudain coupé dans mon élan
par une sensation de brûlure atroce au bras.
J'avais l'impression que du feu s'était répandu
dans mon système, et je poussais un hurlement de douleur.
Je regardais mon bras : l'homme en avait profiter
mon me planter une aiguille dans ce dernier,
et terminait de m'injecter je ne sais quoi.
- Mais…Qu'est-ce que c'est que ça?!
Demandais-je d'une voix étranglée.
L'homme et la femme
détournèrent leur regard du mien.



Arica Mikarashi-Maodawa-Mc Dowell

La porte du placard s'ouvrit brutalement,
et je serrais Yannick contre moi,
paniquée.
L'homme qui se tenait devant brandissait des laser,
dont le canon bougeait lentement
à moins de 10 centimètres de mon nez.
Tremblante de peur,
je poussais un gémissement pitoyable,
tandis qu'ils se concertaient entre eux.
- Deux gamin, chief. Fausse alèrteu.
Prononça une voix avec un fort accent Neptunois.
- Rah! Ils nous ont fé perdré notré temps!
Grogna une autre voix, plus rauque.
- Qu'est-ce qu'on en fé, chief ?
Demanda de nouveau la première voix.
Le deuxième éclata d'un bref rire froid et sadique,
qui provoqua des frissons le long de mon échine.
- Ma… Ils né nous serons d'aucoune outilité. Abattez les.
Le "chief" s'éloigna dans le couloir, seul resta le premier.
Il me dévisagea un instant, puis,
levant le canon de son arme au niveau de ma tête,
il tira.



Day Masen

- TAC, souche Savato.
Ajouta finalement l'homme.
Le feu se répendait de plus en plus dans mon bras,
atteignant maintenant mon épaule.
La femme me secoua,
attrapa ma paume droite,
le bras où l'autre m'avait piqué, et, les yeux fermés,
elle traçant une étoile imaginaire à 5 branches.
- Day
Reprit-elle,
- Nous avons besoin de toi.
Tu vas te retrouver dans un lieu…peu habituel.
Tu dois ABSOLUMENT trouver la Bleistent, d'accord?
Tu lui donneras les boucles d'oreilles que t'as confié ta sœur,
et tu leur montreras ta paume.
Dis que tu viens de la part de Rachel Meyers et
William Parington. Trouve la Bleistent. C'est important.

- Mais, de quoi vous parlez? Et ma sœur?
Comment savez-vous que c'est elle qui me les as donné?
M'écriais-je, sans comprendre, paniquée,
tandis que les larmes coulaient de mes joues et que
le feu s'étendait maintenant sur tout le côté droit.
- On s'occuperas de Layer. Toi, concentre-toi sur ta mission.
Bonne chance.

- Mais?!
Je n'eus pas le temps d'en dire davantage.
Le décor tourna, et ils disparurent de mon champs de vision.


Physique:

Il a les cheveux coupé court,
selon la loi de l'église Ayienne,
et porte l'habit noir des curés évangélistes.
Il porte également un pendentif de la croix,
et possède un brassard le bras droit,
qui lui sert de plateau en tant que membre du GX.
Ses cartes sont rangées dans sa bible, qui est un livre creux…

Qualité&Défaut:

En tant que membre de l'église,
il est très réservé quand aux relations
liant les individus entre eux.
Persuadé d'un "après" et de l'existence du jugement dernier,
il essaye de convertir tout ceux qu'il croise,
ou du moins de les faire confesser
pour que leurs péchés soient pardonné.
De nature joyeuse et naive,
il est le plus doux et compréhensif du groupe.
C'est le meilleur ami de Matt.

Pouvoir: Contrôle des cartes du GX.

Passion: Son prochain, la religion, les combats de GX.

. ::Commentaire::.


Voici donc le « prologue » de l’histoire de nos 7 personnages de RP, formant la clique des Gate Keepers. Cette fiche est une suite de différents flash back de nos 7 personnages…+ 2, vu que Day et Trucy n’en font pas partit . On découvre donc, avec plus ou moins de surprise, un nouveau membre dans ce groupe, Carter Boham, mystérieux (se) membre mentionner plusieurs fois déjà par les Gate Keepers. Qui est-il/elle ? Et quels sont ses rapport avec les autres ? Day est aussi assez mystérieuse. Outre son prénom, son physique, et le nom de sa sœur, qui peuvent s’apparenter à Vinea, qu’en est-il vraiment ? (On est tellement sadique que ç’est sûrement un nouveau personnage…è_é) Si cette fois, c’est le flash back de Day qui domine, la prochaine fois, vous en saurez beaucoup plus sur l’histoire de Matt, médecin de Caduceus. Vous rencontrerez aussi Ti-Ohn, l’amie de Mikan et sœur de Sacha, et vous assisterez à l’entrée de Vinea dans la Barhanof. Enjoy !

Les mots en gras sont en anglais dans le RP...
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