PUT*IN ? 2 mètres 40 ? Faut que je me coupe les tifs...

Koyuki entra dans la salle de bain. Elle était un peu gênée par ses cheveux devenus trop longs, en plus elle devait les coiffer tous les matins, et elle perdait presque une heure de son temps libre. Elle était bien décidée à ça, d'autant plus que si l'élastique lâchait, elle se retrouverai avec deux mètres quarante de cheveux derrière elle... C'était lourd, dans tous les sens du terme. Elle s'installa devant un miroir et enleva son élastique. Ses cheveux presque lisses bien trop longs lui faisaient une drôle de tête. Elle sortit d'un sac un peigne et des ciseaux. Pendant un petit moment, elle coup méticuleusement ses mèches. Un petit moment plus tard, ses cheveux étaient devenus mi-longs et rebiquaient un peu dans tous les sens. C'était bien mieux. Koyea arriva en sautillant. Elle gardait depuis un moment ses rayures argentées. Koyuki s'en fichait un peu, mais elle trouvait ça plutôt bien. Elle sortit un petit appareil de sa poche. Elle le mit devant sa tête et appuya sur un petit bouton. Un petit hologramme afficha : 1 m 50 cm et 26 mm. Elle avait grandit de 8 cm ? C'était quoi, ce bordel ?

-Pu*in de me*de ! Un mètre, cinquante centimètres et cinq millimètres ! C'est quoi ce délire ! J'ai grandi de trois centimètres et un millimètre en deux mois ! Bo*del ! C'est quoi ce délire ! En plus mes cheveux ont plus de volume du tout ! J'arrive qu'à bien les coiffer ! Si seulement Koyuki était dans cette pièce et dans ce pensionnat et pas sur sa foutue planète où elle fabrique ses foutus rollers et ses missiles de mer*es qui ont détruit un astéroïde !

Alick s'énervait de plus en plus, c'était son opération qui avait relancé son dynamisme et son hyper-activité, il avait retrouvé ses anciens tics (manger à longueur de journée, enfin ça il avait encore un peu de mal mais l'envie de sucre lui revenait peu à peut, gratter sa guitare, passer sa journée dans les affaires d'état, rechercher des secrets dans les vielles archives, et ici c'était le paradis !), enfin, il n'avais pas changé sur le plan caractère en tout cas, toujours aussi moqueur, le regard toujours de glace, il avait commandé des nouveaux vêtements par internet qui venaient d'arriver, pour l'instant il était nu dans sa cabine de douche, la semaine dernière il y avait quelqu'un qui lui volé son sweat Nirvana, son baggy en jean et ses vans, il avait été d'une humeur exécrable cette journée là, en plus les seuls vêtements qu'il avait trouvé, était trop grand pour lui, un T-shirt blanc avec des bandes de couleur dessus, une ceinture verte fluo sur un jean rose fluo et des converses vertes pomme, obligé de porter ça toute la journée remontant sans cesse ses manches et son pantalon en marchant en canard à cause de ses chaussure, que du bonheur !

Koyuki s'aperçut alors que quelqu'un était dans cette salle de bain... Parce qu'une des douches était en marche et qu'elle entendait quelqu'un parler dedans. Cette voix lui disait quelque chose... Mais elle était étouffée par le grondement de la douche et des vieux tuyaux, donc elle ne pouvait pas savoir. Elle se regarda encore une fois dans la douche, puis, attirée par cette personne qui prenait sa douche, elle s'approcha. Le doux ronronnement de ses rollers était masqué par les bruits de la douche. Elle avança en direction des cabines et colla son oreille sur les portes de chacune d'elles. Elle arriva à la dernière et entendit :

- ...Qu'à bien les coiffer ! Si seulement Koyuki était dans cette pièce et dans ce pensionnat et pas sur sa foutue planète où elle fabrique ses foutus rollers et ses missiles de mer*es qui ont détruit un astéroïde !

Elle resta bouche bée, l'oreille collée contre la porte. Elle sourit et s'éloigna un peu, se regarda de loin dans les miroirs et se donna un air décoiffée. Elle portait une chemise blanche déboutonnée en haut, un baggy en jean et bien sûr, ses rollers bleus et blancs. Elle avança la main vers la poignée de la porte de la cabine et l'ouvrit sans gêne.

- Eh ben, mon salaud ! Je pensais pas te trouver ici, Al !

Happy Birthday Sasu !
La troisième partie est ~ .webnode

Quelque secondes après qu'il ai crié, il s'adossa au mur, lessivé, il ne pouvais pas encore faire trop de trucs en même temps, enfaite s'était surtout qu'il avait crié beaucoup trop fort pour entendre lui même sa voix à travers le bruit de l'eau, du coups il était complètement vidé direct... La porte s'ouvre. Quoi ? Et puis des paroles :

- Eh ben, mon salaud ! Je pensais pas te trouver ici, Al !

Une seule personne pouvais ouvrir une prote de douche et lui dire ça, cette personne il ne l'avais pas vue depuis des années, ni entendue d'ailleurs, aucun contact de l'enfant de Mercure, la dernière fois c'était pour son L'anniversaire d'Alick, pour ses quinze ans, ils étaient allée à au concert des Anti-Stratèges, qui scandaient hautainement :
"Non aux stratèges !
C'est complètement nul !
Nous ce qu'il nous faut c'est de l'action !"

La scène était partie en fumée en 5 secondes, juste après le commencement de la chanson tant méprisée, le chanteur avait été retrouvé à moitié mort dans une poubelle, des traces de roues de roller sur le visage et des brulures sur les fesses, bien sûr tout le monde avait tout de suite soupçonné l'étrange couple de gamins de douze ans qui avaient trucidés le mec qui vendait les billets pour avoir une place gratuite. Mais impossible de les retrouver, ils étaient introuvables sur tout Mars, l'enquète n'avait jamais aboutit et ils avaient laissées tomber. Alick se souviendrais de ce soir toute sa vie, c'était sans aucun doute le meilleur de sa vie. Alick se retourna sans aucune pudeur et dit :

-Salope de merde toi même Koyu ! Pourquoi t'es ici ? Ça m'étonne de Kaïto de te laisser pourrir ici... Enfaite ça te vas vachement bien les cheveux courts ! T'es toujours stratège de remplacement ?

Il ne put se retenir de sourire, il était si heureux de la revoir après tant de temps séparés et sans aucun contacts. Il remarqua qu'elle avait grandit plus que lui, mais elle avait toujours la même expression moqueur sur le visage, comme Alick d'ailleurs, sauf qu'Alick avait plutôt le sourire du roi du monde.

Koyuki sourit. Pour sûr, il n'avait pas changé, son Alick ! Elle avait grandit plus que lui. C'était déjà ça ! Elle se souvenait bien sûr du soir où ils avaient défoncé le chanteur du groupe anti-stratège. Grâce à qui croyait-il vivre en paix, hein ? Alick souriait comme toujours. Bon, c'était déjà bien, il ne se posait pas trop de questions existentielles qui lui pourrissaient l'existence.

- Hey hey ! Mouais, j'suis arrivée ici sans raison, t'sais. Mon père il faisait une tête trop sérieuse, et tout, et Kaito avait pas compris pourquoi, parce qu'il était content d'avoir trouvé une vraie amoureuse ! T'as vu, hein ! Les cheveux courts, c'est mieux ! Et p'is non, je suis plus stratège de remplacement, qu'est-ce que tu crois ! C'est Kaito, mon remplaçant, et quand il est occupé, eh ben c'est Edward et Kiba !

Toujours tout sourire, elle s'avança et arrêta la douche. Elle sortit, lança à Alick ses habits "flashy" et lui dit :

- Enfile ton palfroc, sinon tu vas rester tout nu !

Elle souriait encore, parce qu'apparemment Alick la prenait toujours un peu pour un garçon, ce qui n'avait rien de gênant pour elle car elle avait toujours vécut au milieu des garçons, dormait dans la même chambre que les garçons, bref, vivait comme un garçon. C'était aussi bien, comme ça, elle n'était pas une fille toujours avec son maquillage, portant des habits à la mode même s'ils sont moches, ayant des tics de fille et qui pignaient dès qu'elle se cassent l'ongle, bref, des chochottes, des poufs, et c'était pas Koyuki, tout ça ! Non, non, non ! Elle sourit de toutes ses dents, vraiment contente de revoir Alick. On pouvait dire qu'il était son meilleur ami, puisqu'il était le seul à être en liaison avec elle, dans son vaisseau isolé. Il était le seul à avoir partager les mêmes batailles, la même guerre, bref...

Alick regarda ses habits, ça la gênais maintenant ? Bon tant pis alors... Il jeta un regard suspicieux à ses habits, elle était cruche ou quoi ? Elle voyait pourtant bien qu'il y avait une tache de boue sur le pantalon et que le T-Shirt était tout froissée quand même ! Ils les avaient juste emmenés pour tenter de retrouver son propriétaire, ses vêtements à lui était juste à côtés, un jean, un sweat "Green Day" un caleçon blanc et, malheureusement, il avait oublié ses chaussette et ses vans, tant pis, mais quand même soit elle avait perdue la mémoire soit elle n'avais pas fait exprès, qui ce serais habillé en fluo à part... Le cyborg en fluo peut-être ? Enfin il fallais le lui faire remarquer sinon il serais obligé de remettre ses habits trop grand pour lui avec cet horrible caleçon orange fluo...

-Heuuu... Koyuki ? Tu te rend compte de ton erreur ? Tu sais pourtant bien que je n'aurais jamais l'idée de mettre des habits fluo non ?

Bon voilà c'était fait maintenant il fallait qu'elle se remémore comment il s'habillait avant, pas très dur en somme, et qu'elle trouve où étaient posés les autres vêtements, pas très dur non plus, et pour l'y aider Alick regarda en oblique l'endroit où ils étaient disposés bien sagement en attendant leur propriétaire, juste au cas-où...

Koyuki regarda le slim fluo qu'elle avait encore en main... Tu, c'était vrai, il ne ressemblait pas à ce qu'Alick mettait d'habitude. Elle se dirigea vers l'endroit où elle avait prit les vêtements, les reposa, et reprit les autres, ceux qui paraissaient un peu plus normaux. Elle les détailla bien. Oui, c'étaient ceux-là. Elle les ramena, les donna à Alick.

- C'est pas que ça me gêne, mais ce serait la honte que quelqu'un arrive et nous voit tous les deux alors que t'es à poil, t'sais, même si je m'en fous, mais bon.

Elle s'adossa au muret de la cabine et dit :

- Alors, comment ça s'est bien passé, pendant tout ce temps ?

Cela faisait tellement longtemps qu'ils ne s'étaient pas vus... Mais pourtant... Si ! Elle l'avait vu lorsqu'il était arrivé au pensionnat, et même à l'élection des délégués ! Il ne devait pas vraiment s'en souvenir... Aucune importance. Il devait l'avoir prise pour une folle montée sur moteur, comme la plupart des gens. Étonnant qu'il ne l'ai pas reconnue. Et elle, alors ? Pourquoi elle n'avait pas tilté ? Pff...

-Merci...

Il enfila ses habits, sans même prendre la peine de se sécher, pieds nu, il sortit de la cabine, sans sourire bizarrement, il était dans ses pensées, mais pourquoi était-elle là ? Une mission ? Où juste pour la remettre à niveau, ce dont elle n'avais absolument pas besoin, une mission de la part du gouvernement, sûrement, c'était vrai que Levy soulevait beaucoup de questions, presque personne ne savait qui il était, ni à quoi il ressemblait d'ailleurs, il alla trouver ses Vans noire et mit les pieds dedans... Soudain l'idée du bal lui revint en tête, il avait réussit à inviter Vinea ce qui était une sorte d'exploit pour lui...

-Dis, tu vas au bal de ce soir toi ?

- Bah... Si je trouve quelqu'un... En fait j'm'en fous un peu...

Dit-elle avec un air de désinvolture presque exagéré. Elle s'en fichait, ça, c'était vrai. Pour sûr ! Un bal, ça fait penser à un truc de vieux, avec de la musique pourrie et de la danse classique... Ce qui ne plaisait pas du tout. Alors ça, non ! De toute façon, elle ne savait pas bien danser. Au pire, si elle y allait, elle boufferai des petits gâteaux, rien de plus... En gros, elle ne ferait rien. Elle n'avait pas de petits copains, ni d'ami, à part Alick ou Yan, mais ils étaient sûrement déjà pris...

- Et toi, alors ? T'y vas avec quelqu'un ?

Elle s'en fichait un peu (même beaucoup), mais bon, s'ils pouvaient parler... Au moins, elle saurait peut-être ce qu'il aime...

-Moi, j'y vais avec Didi, je sais pas si les Gates Keppers vont être très d'accord, enfaite ça m'étonnerais beaucoup mais bon tant pis, sinon, moi je pensait que tu viendrais pas ou que t'avais déjà trouvé quelqu'un donc je t'ai pas demandée...

Dit-il d'un ton joyeux, faisant bien comprendre que si elle ne venais pas elle en baverais pour le restant de ses jours, Alick voulais absolument savoir avec qui elle viendrais, si cette personne lui plaisait ou non et s'ils finissaient finalement par sortir ensemble...Il lui sautilla autour et lui dit :

-Allez, avoue, tu vas venir finalement, tu as envie de venir avec quelqu'un, mais qui est ce quelqu'un Koyuki ?

- Nan, moi je m'en fiche ! Au pire, vu qu'il y a Levy, j'y irai en cassant la fenêtre, mais si je trouve un pauv' 'tit gars à manipuler pourquoi pas ?

Dit-elle d'un air tout aussi joyeux, faisant bien sentir à Alick que si Di changeait d'avis, il serait dans la mouise ! Elle courut à son sac, et en sortit son téléphone portable.

- Je vais dire à ma mère de m'envoyer plus de cookies vu que t'es là ! Elle se fera un plaisir d'en faire ! Spécialement pour toi ! Tu sais les énormes, avec pleiiiiiiiin de chocolat ! Et pourquoi pas des macarons tiens ?

Elle savait résolument qu'Alick détestait qu'elle dise ça car il ne voulait pas manger plus que un cookie, et qu'après, elle lui en enfournait des tas dans la bouche... Elle composa le uméro de chez elle.

-AYAAAA ! LACHE ÇAAAAAA !

Alick se jeta avec une vitesse et une force, surprenante pour sa condition physique, sur Koyuki alors quelle avait juste tapé de dernier chiffre du numéro de chez-elle. Il s'était jeté avec tellement de force que celle-ci bascula par terre avec lui, laissant glisser le portatif sur le sol malpropre, cinq secondes passèrent, secondes pendant lesquelles, Alick et Koyuki, regardèrent bêtement l'appareil sonner, une voix leur répondit...

Une voix de femme sortit de l'appareil et dit :

- Allô ? Allô ? Aaaaaallôôôôôô ? Qu'est-ce qu'il y a ? C'est qui ?

Koyuki poussa Alick et se précipita sur le téléphone. Elle le saisit et commença à dire :

- Coucou maman ! C'est Koyuki !

-Lache ça j'tai dis !

Dit Alick en se relevant, il arracha le téléphone, avec une certaine vigueur, des mains de Koyuki. Et cria en courant dans toute la pièce le téléphone à la main, pour empêcher Koyuki de commander à sa mère une tonne de cookies rien que pour lui, c'était vraiment un supplice, lui qui ne devais pas manger plus d'un par jour ! Koyuki le gavait de ses sucreries bourrative, avec sa tête de diablesse, elle savais pourtant bien qu'il ne pouvais pas ! mais no elle, elle continuais, la dernière fois qu'il avait été chez Koyuki il avait fini attaché à la table à manger pour ne pas qu'il s'échappe... Il s'approcha à une vitesse éclair de la fenêtre, glissa et s'étala par terre, laissant le téléphone glisser une deuxième fois sur le sol marqué de traces de chaussures...

- Ah ! Mais c'est Alick ! Coucou, Alick ! Je vais t'envoyer des cookies, tiens ! Tu peux me passer Koyuki, s'il te plaît ?

Koyuki se rua sur le téléphone et l'attrapa, mettant Alick à terre.

- Allô, maman ? Oui, c'est moi ! Les autres débiles vont bien ?
- Ah ! Les autres débiles ! Ton père va bien, trop bien, même. Il manifeste sa joie, en ce moment, c'est insupportable. Le pire, c'est qu'il travaille plus, donc il pue plus. Alan pareil. Il s'est fait une nouvelle coupe. Kiwi n'est pas venu depuis un mois, il doit avoir trouvé une petite amie. Il va un peu trop bien aussi. Kaito a trouvé une relation sérieuse. Mais il a tellement de boulot qu'il pue aussi.

Alick releva la tête sûr, il en était sûr qu'elle demanderais à "Maman chérie !!!" de lui envoyer au moins cinq tonnes de cookies rien que pour que "Salaud de Fuck !!!" en ingurgite plus de la moitié à lui tout seul, attaché à la table du réfectoire en train de crier et de pleurer... Bon d'accord avouons-le c'est pathétique mais c'était la vérité vraie ! Demandez à n'importe qui connaissant l'aversion d'Alick pour la nourriture et vous en aurez la confirmation immédiate ! Impossible de faire manger à Alick du sucre ou plus d'un feuille de salade... Soit Alick mangeait tout, mais cinq minute après on le retrouvait entrain de vomir, il avait aussi une autre technique quand il était contraint de tout manger... Il ne mangeais pas pendant plus d'une semaine après qu'on l'ait gavé... Bon disons le tout de suite Alick était anorexique et boulimique voilà tout... Cela lui venait de la période où il était déjà pareil à un cadavre, la période ou il venait d'entrer à l'école de stratèges... Il y en avait beaucoup de grand élancés, fins en bonne forme physique quoi... Alick était extrêmement complexé à cette époque et puis un beau jour il se dit : "Tien et si je devenais comme eux ?" Là avait commencé l'enfer... problèmes de croissance, manque de glucides, hypotension, et même perte de conscience... Mais l'esprit d'Alick faisait barrière, jamais il ne s'était résolu à changer...
Alick se releva difficilement, il saignait du nez. Il s'accrocha à un lavabo qui semblait prêt à partir en poussière depuis plus de cinq-cent ans. Il pâlit. Il ne s'en était pas rendu compte, plongé dans ses pensées, mais Koyuki était entrain de parler à "Maman chérie !!!" C'était la fin maintenant... Impossible d'y échapper les cookies seraient là demain au plus tard...

- Euh, ouais... Bon... Alick ! Viens ici !

Elle fit signe à Alick de la rejoindre, tandis, qu'elle bidouillait son téléphone, pour faire apparaître un hologramme. "Maman chérie" était une grande femme blonde, aux énormes yeux verts. Celle-ci demanda :

- Alick ? Tu me vas bien ?

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